Regardez la vidéo et glissez-déposez les expressions dans les emplacements qui leur correspondent (watch the video and place the expressions by dragging and dropping to the correct location).
D-Lain : « Je m’appelle D-Lain. Je viens de Madagascar. J’ai 25 ans et j’habite à Tananarive. » Paul : « Bonjour, je m’appelle Paul. Je viens de la RDC, République démocratique du Congo, précisément à Kinshasa. J’ai 26 ans. » Roberta : « Je m’appelle Roberta. Mes amis m’appellent Roby. J’ai 18 ans. Je viens de la République centrafricaine. Je vis à Bangui qui est la capitale. Et je suis très très contente d’être ici. »
Bonjour ! Je m’appelle Maria. J’ai 30 ans. Je vis/J’habite à Rio de Janeiro. Et vous ?
Dans cette interview réalisée en 1965, l’écrivain Georges Pérec nous parle de lui et de son nouveau livre Les Choses. Regardez l’extrait suivant (de 00:35 à 02:53) et répondez aux questions suivantes :
La voix hors champ : Alors commençons. Qui êtes-vous, Georges Pérec ? Georges Pérec : Eh bien, j’ai trente ans effectivement. Je suis documentaliste dans un laboratoire de recherche médicale, c’est-à-dire que je reçois des articles en anglais, en italien. Je fais des fiches et j’élabore tout un système de bibliographie qui sert à la recherche. C’est un travail que je fais depuis quatre ans, qui me prend la plupart de mes journées, mais je parviens à réserver quelques heures en fin d’après-midi ou le soir pour écrire. Je suis marié depuis cinq ans. Je n’ai pas d’enfants et, quand je ne perds pas mon temps au cinéma ou dans des cafés, j’essaie d’écrire. J’écris depuis dix ans. J’ai écrit plusieurs nouvelles, quatre ou cinq romans, qui sont tous restés inédits. Et j’ai commencé Les Choses il y a trois ans. Je vis ici, enfin, ce livre correspond à une certaine expérience de l’installation que j’ai faite. Je vis ici depuis à peu près cinq ans, à côté de la Mosquée de Paris, dans un appartement assez petit. Et mon livre, d’une certaine manière, reprend tous les éléments de ma propre expérience. La voix hors champ : C’est vrai, près de la Mosquée de Paris, j’ai retrouvé la rue Quatrefages, le grand arbre, le vieil immeuble, qui sont le cadre de la vie de Pérec et aussi celui de son livre. Voici la petite pièce où travaille Pérec, mais où travaille aussi dans le livre son héros Jérôme. Et la photo de madame Pérec qui pourrait être celle de l’héroïne de Sylvie. Il faudra demander à Jérôme, je veux dire à Pérec, s’il s’agit d’une autobiographie. Mais voici d’autres détails : la très belle carte ancienne, le tableau d’Antonello de Messine, les livres.